Non, ce jeudi 1er Décembre, les spectateurs de la Seine musicale n’étaient pas STONE – mais bien attentifs et curieux pour écouter STARMANIA 40 ans après sa création.
Ce nouveau livret nous rappelle que c’est une œuvre tragique – dans les précédents spectacles l’intrigue était passée au 2ème plan au profit des tubes indémodables.
La clef de son succès populaire et inter générationnel, c’est l’exact reflet du monde jusqu’à aujourd’hui (angoisse – mal être – écologie – violence – média – élections)
Ce qui explique le choix d’un plateau à décor minimaliste et oppressant ; avec juste l’intervention des personnages par apparitions et disparitions.
La 1ère partie fut assez froide –
La 2ème plus tonique avec des chorégraphies trépidantes.
Les chanteurs étaient très bons ; avec une préférence pour Marie-Jeanne la serveuse automate…
Pour ce qui est des éclairages parfois violents : des projecteurs escamotables, des autres en 3D qui produisent des effets inédits.
Sans compter que les coulisses restant toujours visibles, il a fallu accentuer l’éclairage pour estomper ce qui s’y passait et aveugler un peu le public.
C’est donc avec « la tête qui éclate » que nous avons trouvé nos taxis sans encombre.